Accueil Faut-il ou non éviter Sophie la Girafe ?

Faut-il ou non éviter Sophie la Girafe ?

Faut-il ou non éviter Sophie la Girafe ?

Depuis quelques années, on ne parle plus que de Sophie la Girafe : le fameux jouet pour enfants. Commercialiser depuis 1961 par la société Delacoste, elle a été vendue à plus de 50 millions d’exemplaires ces 50 dernières années. Mais voilà que subitement, en 2011, la polémique fait rage : « sophie la girafe dangereuse ». Pendant que certains en vantent les avantages, d’autres ne cessent d’insister sur les risques que présente cet accessoire sur la santé des petits. Les jeunes parents ne savent plus où donner de la tête. Retour sur les réels avantages et inconvénients de ce jouet pour enfants.

Du Bisphénol, mais à petites doses

La société Delacoste ne nie pas l’utilisation du bisphémol A dans l’élaboration de Sophie la Girafe. Mais s’alarmer sur le sujet n’est pas utile. En effet, il ne s’agit pas d’un jouet entièrement établi avec cette molécule. Il ne contient qu’un taux de 0.945mg/kg. Ces traces seraient le résultat de la vulcanisation de la sève d’hévéa, comme se plaisent à le dire les professionnels. La présence d’un taux minima de Bisphénol A n’enlève en rien les réelles utilités de ce jouet pour le développement des petits. Ludique et pratique, il leur permet de jouer tout en optimiser leur acuité intellectuelle. Il produit un petit son grâce à son sifflet qui sera à même de les calmer rapidement. Et de par sa taille, le jouet sera idéal pour les petites mains des nourrissons de plus de 3 mois.

Quelques avantages encore méconnus du Bisphémol

En outre, le Bisphémol possède quelques vertus que l’on est souvent tenté d’ignorer, car ces derniers sont occultés par les manœuvres de désinformations lancées sur sa dangerosité depuis quelques années. Très utilisée dans la fabrication en chaîne de nombreux accessoires, cette molécule facilite l’entretien des articles, tout en optimisant sa robustesse. Dans la vie quotidienne, on en rencontre à profusion sans se pencher davantage sur les potentiels risques. Et pour cause, les recherches sur les réelles conséquences des précurseurs de nitrosamines sur la santé des hommes n’ont pas encore été lancées. Certes, les animaux ne supportent pas une certaine dose d’expositions, et les réactions entre le bisphémol et les acides gastriques peuvent être dangereuse pour ces derniers, mais aucune preuve n’a encore été donnée que c’est également le cas pour les hommes.

 

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